« Certains Fugueurs incertains ont consenti, d’autres Passeurs de Songes ont trahi.
Nous, héritiers d’une mémoire collective, improbables Côtoyeurs de lisières,
Ne sommes que d’infimes Fourbisseurs d’instants éphémères.
Bienveillants nous sommes, Bienveillants nous devons rester.
Démuni devant cet équilibre instable, si fragile
Nous devons nous retrouver, frères de larmes...réunis
J'y suis effectivement serein en cette Terre, désormais... »
Extrait du livre « Sidh ou le Jardin se crée... »
Pascal Ferry